L'avant match : Belgique Vs Usa

Il faudra avoir la frite

Que dire de ces deux équipes si ce n'est que l'on risque d'assister au huitième de finale qui va nous proposer le plus de (si possible beau) jeu. Un football dynamique tout en mouvement et en combinaison, chose surprenante lorsqu'on connaît les habitudes alimentaires de ces deux pays. Mais Belges et Kainris seront face à face ce soir, dès 21h30 sur Radio Goal, pour nous proposer un match de football crucial mais qui s'annonce plutôt joueur.

Les Belges :

Si les belges ont pris la vilaine habitude de ne jouer que dans les 10 dernières minutes et de gagner par un but d'écart (l'Algérie, la Corée du Sud et la Russie en ont fait les frais en phase de poule), il n'en reste pas moins que cet effectif flamando-wallon sait la mettre au fond et prendre les trois points. Avec des joueurs évoluant dans tous les grands championnats (Premier League surtout, mais aussi Serie A et Bundesliga), la Belgique peut s'appuyer sur une défense solide et un milieu talentueux et créatif, emmené par ce petit filou d'Eden Hazard. Les diables rouges ont également un banc bien rempli et le petit Divock Origi (à peine 19 ans) est capable d'apporter de par sa vitesse une fraîcheur supplémentaire sur le pré.

Le premier pays exportateur de candidats de télé-réalité a donc tout sauf une équipe d'affreux jojos et a débarqué au Brésil dans le costume de l'un des favoris de ce mondial.

L'équipe de Belgique

Les Américains :

En face, pas de bouchers ou de gros bonhommes complètement flingués techniquement comme en Australie. Un ADN anglo-saxon, celui d'un jeu direct et efficace, amélioré par la touche Klinsmann qui a réussi a faire de ces soccer boys une vraie équipe de football en l'espace de 4 ans. Avec son championnat domestique, la MLS, en pleine expansion, les américains nous rappellent, comme en 2010, qu'ils font partie des équipes qui comptent sur la planète football, en atteste leur présence à ce stade de la compétition. Du cœur, du jeu, de l'envie et de la technique, voici les Yankees prêts à nous surprendre.

L'avis de Radio Goal :

Il va y avoir du sport et des buts, ca tombe bien c'est ce qu'on adore chez Radio Goal.

Reste à savoir si le Melting Pot américain pourra briser l'union sacrée entre Wallons et Flamands.

L'homme qu'on va surveiller :

Dempseeeeeeey

 CLINT FUCKING DEMPSEY : pour 3 raisons

1- Un regard de gangster, des yeux noirs, le parfait méchant dans votre blockbuster US du dimanche soir. Un simple de ses regards vers la caméra suffira à vous glacer le sang.

2- Son prénom : Clint... Cela suffit à te faire regretter d'avoir appelé ton gosse Théo.

3- Ça joue bien au foot, ça simule pas, ça va même mettre les petits taquets qui font plaisir à voir...

COME ON CLINT, la rédac' de Radio Goal compte sur toi (Yes you can you dirty motherfucker!)